Vos coups de gueule

Ici venez exprimer votre dégout pour touts ses horreurs.
Insultes graduites permises mais avec modération

De l’art de tuer…

Depuis novembre 2003, une série de photographies animalières défraie la chronique sur le territoire suédois. A l’origine, les œuvres de Nathalia Edenmont, une Russe de 33 ans, exposées à la galerie Wetterling de Stockholm. A première vue, ses photos de sont réellement choquantes pour le visiteur. Nathalia Edenmont a paré ses modèles (lapins, souris et chats) de grandes collerettes de couleurs ou d’étoffes de cuir. Mais, les poils du spectateurs se hérissent à la lecture du communiqué, rédigé par la galerie, qui accompagne l’exposition : « Nathalia Edenmont a tué ces animaux aussi humainement que possible ».
L’enquête menée par le magazine 30 Millions d’Amis a confirmé que cette « artiste » a tué de ses propres mains, seule dans son appartement, les animaux qu’elle a photographiés ! puis, elle leur a coupé la tête ou la partie du corps qu’elle souhaitait utiliser. Une pratique qu’elle a reconnue auprès des médias du pays. L’association des vétérinaires suédois, regroupant 2400 cliniques, a porté plainte. Son porte-parole, Johan Beck-Friis, a expliqué que « la loi suédoise n’interdit pas de mettre à mort un animal ,mais de le faire souffrir. Or, il est quasi impossible de prouver qu ‘elle les a torturés. En revanche, tuer un animal en dehors de toute structure vétérinaire est répréhensible, selon l’article L 118 de notre code de l’agriculture »…Espérons qu’aucun galeriste français ne voudra exposé son « art » !

raaaa... mais c'est dégueulasse!!! a mort la photographe!!!

D'accord avec toi!!

Les chercheurs américains attachés à la protection des espèces sont soumis à des pressions politiques qui les poussent à censurer leurs résultats scientifiques, au détriement de leur crédibilité et surtout des espèces menacées. C'est en tout cas l'inquiétante conclusion d'un rapport publié par deux ONg américaines, l'Union of Concerned Scientists (USC) et le Public Employees for EnvironmentalResponsibility (PEER).

Ce Rapport s'appuie sur une enquête par questionnaires menée auprès de 400 scientifiques employés par l'US Fish and Wildlife Service (USFWS), l'équivalent américain de l'office national des eaux t forêts.
Près de 44% des chercheurs interrogés affirment qu'ils ont été "encouragés", pour des raisons non scientifiques, à ne pas reconnaitre certaines espèces comme menacées.
Près d' un sur cinq reconnait avoir déjà cédé à des pressions lui demandant d'omettre ou de supprimer des publications officielles certains résultats de recherche.
Ensuite, 56% de ces scientifiques déclarent reconnaitre des cas où "des intérêts commerciaux ont conduit à l'inversion ou à la suppression de conclusions scientifiques, par le biais de pressions politiques".
42% pensent qu' ils ne peuvent pas, sous peine de sanctions grave de l'USFWS, exprimer en public leur inquiétude quant à la préservation de certaines espèces. Des craintes corroborées par le licenciement, en novembre dernier, d'un spécialiste des panthères qui avait alerté le public quant à la surrestimation de leur population par es autorités.

En fait, près d'un tiers (32%) des chercheurs de l'USFWS ont l'impression de ne plus pouvoir exercer leurs responsabilités scientifiques.

Selon les commanditaires du rapport, ces interférences entre politique et science ne nuisent pas seulement au public et aux espèces menacées, elles sapent aussi la crédibilité du leadership des USA en matière de recherche scientifique.

Le progrès selon bush s'illustre encore en faveur de la destruction de la faune. Pour permettre aux citoyens américains de se procurer plus facilement des animaux exotiques, et pour alimenter un commerce très lucratif, il propose une loi facilitant l'importation de nombreuses espèces menacées de disparition. Animalerie, cirques, chasseurs vont pouvoir se réjouir... mais certainement pas les perroquets de l'Amazone ni les éléphants d'Asie.

Dans le port japonais de Tajii, un occidental supplie les pêcheurs : "Laissez au moins partir les mères avec leurs petits." On lui répond par des éclats de rire. Dans l'eau, 30 dauphins (des globicéphales) sont enfermés depuis la veilli après avoir été rabattus vers la côte pendant des heures.
Les pêcheurs vont les tuer, comme ils le font depuis un mois, chaque fois que leur route croise celle des dauphins. Deux grand mâles tournent autour des mères qui ont rassemblés leurs petits pour les protéger. Sur la berge, Ric O'barry, l'ex-dresseur de flipper, Paul Watson, le célèbre pirate des mers, et quelques autres tentent de les sauver. Ils ont alerté les amis des dauphins par Internet, et ils ont filmé les massacres précédents pour les montrer au monde entier. Le lendemain, la mer est rouge : tous les dauphins sont morts. "La police nous a empéché d'intervenir et de filmer. les deux mâles ont vainement tenté de protéger les femelles et les bébés pendant tout le massacre, leurs cris emplissaient la baie", rapporte Ric, bouleversé. Leur viande se vendra cher. Au Japon, on se passionne de plus en plus pour les cétacés. Des associations de protection naissent un peu partout. Alors pourquoi cet acharnement à tuer? Lapolitique, les mafias? Surement, mais il faut aussi garder à l'esprit qu'un pêcheur nippon n'acceptera jamais qu'un étranger lui dicte sa conduite. Lorsqu'un groupe de japonnais s'interposera entre pêcheurs et dauphins, ce jour là, les cétacés auront une chance de s'en sortir.

(article trouvé dans 30 millions d'amis http://www.30millionsdamis.fr)

Greenpeace accuse la France

Greenpeace a déposé jeudi 17 mars 2005 deux cadavres de dauphins devant l'ambassade de France à Londres dans le cadre de sa campagne pour l'interdiction de la pêche aux filets dérivants. Cette technique provoquerait al mort de milliers de dauphins chaque année. Ls deux cadavres en question avaient été récupérés par greenpeace dans la Manche dasn un zone où, selon un porte-parole de l'association, croisaient 16 bâteaux français.

Mettons les choses au clair : la différence entre mauvais traitements et actes de cruauté?

L'absence de soins, l'insuffisance de nourriture et de boisson ainsi que l'absence d'abri pour n'animal sont généralement assimilés à des mauvais traitements. En revanche, tout acte qui dénote la volonté de faire souffrir un animal et de se satisfaire de cette souffrance est considéré comme un acte de cruauté.

hum.. c'est quoi ce bazzard de vouloir buter tous les loups au pofit d'un troupeau de mouton?
Bon j'abuse un peu en disant ça... mais je trouve ça dingue d'être autorisé à tuer un animal protégé